Après avoir examiné les détails de la question, en particulier, la position solidaire de la commission des finances et du développement économique de toutes ses composantes avec M. Noureddine Mediane, le Bureau de la chambre a confirmé que les accusations et les allégations soulevées à l’encontre de M. Noureddine Mediane sont considérées comme un préjudice grave et une atteinte profonde qui affecte son droit constitutionnel d'expression et d'opinion, comme il est stipulé dans la Constitution et de l’article 96 du règlement de la Chambre des députés
Le bureau du Conseil réitère sa condamnation et sa dénonciation de ces allégations et rappelle l'inviolabilité du député.
Le bureau du Conseil réitère sa condamnation et sa dénonciation de ces allégations et rappelle l'inviolabilité du député.